Jésus parlait à ses disciples de sa venue. « L’avènement du Fils de l’homme ressemblera à ce qui s’est passé à l’époque de Noé. » (Mt 24, 37)
Le rayonnement de Jésus est tel qu’on ne peut rien souhaiter de plus rayonnant ni rien imaginer de plus souhaitable. [...]
À l’admirer, l’intelligence défaille ; à le désirer, quiconque le voit se met à languir ; si elle lui est comparée, toute beauté paraît terne.
Jean de Ford, Sermons sur la dernière partie du Cantique des cantiques, 35,1, (cf. CCCM XVII, p. 267)