Pour aller où je m’en vais, vous connaissez le chemin. (Jn 14,4 - Liturgie)
Lève-toi donc, mon amie, ma colombe, ma belle, mon immaculée, et viens ! Car déjà est passé l’hiver de mon absence, la pluie de tes larmes s’en est allée, elle cesse. Au retour du soleil, les fleurs angéliques apparaissent pour toi. Ta voix, colombe très chaste, s’est fait entendre ; Le temps de l’assomption est arrivé. (cf. Ct 2,10-12).
Amédée de Lausanne, Homélies mariales, 7 (cf. SC 72, p. 199-201)