« Mon enfant, va donc aujourd’hui travailler à la vigne. » Celui-ci répondit : « Je ne veux pas » ; un peu plus tard, pris de remords, il y alla. (Mt 21,28-29)
Dans ta charité, ce qui est amer s’adoucit, et ce qui est dur s’attendrit ; c’est en elle seule que ton joug est suave et ton fardeau léger. Qu’y a-t-il de difficile pour celui qui aime ? Toute rigueur de commandement est minime pour un cœur qui aime.
Patiente est la charité, forte est la charité, le labeur ne la fatigue pas, le fardeau ne pèse pas pour elle.
Baudouin de Ford, Traités, 16