Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous les malades, et ceux qui étaient possédés par des esprits mauvais. La ville entière se pressait à la porte. (Mc 1,32-33 - Liturgique)
C’est là, à la vérité, la fontaine de vie, qui toujours coule, et jamais ne se perd dans une fuite. C’est la gloire, ce sont les richesses, dans la demeure de ton bienheureux amant : car celui qui désire trouve prêt ce qu’il désire, et celui qui aime, ce qu’il aime. Aussi celui qui désire, aime-t’il toujours désirer, et celui qui aime, désire-t’il toujours toujours aimer.
Guillaume de Saint Thierry, La contemplation de Dieu, 6, 49-57, (cf. SC61, p81)